Nous avons l’honneur d’avoir soumis une contribution au Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies, portant sur la mise en œuvre d’une approche fondée sur les droits de l’homme dans les objectifs et cibles du Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming-Montréal (CMB).

Cette soumission est le fruit d’un partenariat entre l’ACADEMIE AFRICAINE DE PRATIQUE DU DROIT INTERNATIONAL (AAPDI), l’Organisation pour la protection de l’environnement et des droits humains (OPEH) basée au Congo-Brazzaville, et l’Association des Jeunes pour le Développement Intégré-Kalundu (AJEDI-Ka) dans le Sud-Kivu (RDC).

Notre contribution s’appuie sur des cas d’étude en République démocratique du Congo et au Congo-Brazzaville. Elle met en lumière les atteintes graves aux droits humains liées à la perte de biodiversité : exploitation illégale des ressources naturelles, insécurité alimentaire et marginalisation des peuples autochtones et des communautés locales dans la prise de décisions relatives à la conservation de la biodiversité.

Mais cette contribution porte également un message d’espoir : elle relate des exemples positifs de respect et d’inclusion des savoirs traditionnels en faveur de la biodiversité.

Cette soumission a été rédigée par Valentine Charbaut (stagiaire juriste au sein de l’AAPDI) avec l’aide et la supervision de Drusilla BRET-CUNYNGHAME-ROBERTSON (Secrétaire générale de la Section des jeunes chercheurs de l’AAPDI).