Objectifs

L’Académie vise à relier les chercheurs, praticiens, experts, qui consacrent leurs travaux à la transnationalisation du droit en portant un regard appuyé sur son centre de gravité qu’est l’Afrique pour créer un environnement propice à la pensée créative afin de permettre à l’innovation et à l’entrepreneuriat internationaux.

Promouvoir la formation juridique en favorisant la compréhension, le développement et la mise en œuvre du droit international. Trouver des solutions innovantes aux principaux défis, notamment dans les domaines de l’énergie, du climat, de la santé, des matières premières, des frontières, et gestion du contentieux international.

Grâce à ses divers programmes et initiatives, L’AAPDI se positionne comme l’une des principales organisations africaines consacrées au contentieux international africain.

Sa devise : Un cadre juridique international renforcé, peut améliorer la vie des gens partout sur la planète en assurant une prospérité accrue, une meilleure durabilité, le règlement des inégalités, la protection des droits de la personne et un monde plus sûr. C’est sur la base de ce constat et de leurs expériences personnelles et professionnelles que les membres ont souhaité créer cette Académie pour accompagner les Etats et les investisseurs.

En droit international, de nombreuses questions demeurent, y compris la façon dont les principes du droit international de l’environnement et du droit international des droits de l’Homme, peut conduire à un développement durable en Afrique et renforcer la coopération pour une gestion durable et équitable des ressources marines. L’Académie s’efforce de promouvoir la contribution des travaux africains au débat international sur les grandes questions de droit international. Un prix de la meilleure thèse sur le droit international africain sera décerné chaque année.

Par les projets et aspirations de ses membres, l’Académie encourage, dynamise et concrétise les projets de formation et promeut l’expertise juridique africaine en donnant la possibilité contribuer à l’évolution du droit international. Il s’agira de renforcer les capacités d’élaborer et d’institutionnaliser des cadres juridiques crédibles, transparents et efficaces sur le plan opérationnel, de renforcer la contribution du droit international des investissements en faveur du développement durable, de négocier des contrats techniquement complexes et de surveiller et faire respecter les engagements et les exigences juridiques et contractuels sous-jacents. La recherche et le renforcement des capacités pour la mise en œuvre des instruments innovants de gouvernance des ressources naturelles, en tenant compte des récents développements locaux, nationaux, régionaux et internationaux.

L’Académie a ainsi pour ambition de répondre à une forte demande des acteurs et des praticiens, désireux d’approfondir leurs connaissances dans un monde sans cesse en mouvement comme a pu en témoigner l’agenda Lex africa avec trois événements internationaux majeurs :

Un demi-siècle africain au CIRDI : regards rétrospectifs et prospectifs ;

Contentieux frontaliers en Afrique : défis et réponses ;

Foreign direct investment operations and investment disputes in the African extractive sector: Challenges and opportunities for Africa’s growth & development

Ces évènements témoignent de la capacité d’attraction de l’Académie dans le paysage international. Il y a un besoin urgent pour la recherche juridique internationale robuste et originale et de formation, le renforcement des compétences juridiques internationales, la capacité et des conseils dans les pays africains et l’empowerment des lawyers. L’influence de l’Académie dans des dossiers internationaux importants a été reconnue. Ses programme s’assortissent d’une mission qui consiste à relier les connaissances, les politiques et la pratique afin de tabler sur le cadre juridique international pour appuyer la gouvernance de l’avenir

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